La différence serait particulièrement présente au niveau des aisselles. Les hommes présentent un nombre plus élevé de bactéries que les femmes car ils produisent plus de substances dont se nourrissent ces micro-organismes, ce qui génère la mauvaise odeur. Mais lorsqu’il s’agit de germes dans les toilettes publiques, les rôles s’inversent.
D’après une étude conduite par les chercheurs de l’université américaine d’Arizona, citée par Medical Daily, les toilettes publiques réservées aux femmes cacheraient le double de germes capables de nous rendre malades que celles des hommes. Les scientifiques expliquent ces résultats à cause du fait que les femmes ont tendance à partager les toilettes avec leurs enfants, et elles s’y rendent plus souvent.